Nathalie Péron

Nathalie Péron, Attachée client

Parnasse a donné la parole à Nathalie Péron, qui se souvient de son téléphone en bakélite et du temps où l’on tirait le fil de son téléphone à cadran jusque dans le couloir pour parler en toute discrétion.

LE VENDREDI 10 OCTOBRE 2025

À 18 ans, vous souvenez-vous du premier numéro que vous connaissiez par cœur ? 

Je m’en souviens encore : c’était celui de mes parents, leur téléphone fixe, le 02 98 xx xx xx. C’était un téléphone en bakélite à cadran, avec le fameux écouteur qu’on plaçait contre l’oreille pour écouter les conversations. Toute une époque. 

Quelle était votre sonnerie ou musique fétiche de l’époque ? 

La sonnerie était la même pour tout le monde. Pas de personnalisation possible sur les téléphones à cadran, et même plus tard sur ceux à touches. 

Les SMS n’existaient pas... 

Exactement. Le téléphone servait à toute la famille. Il y avait un long fil, qu’on tirait jusque dans une autre pièce quand on voulait un peu d’intimité. 

Vous souvenez-vous de votre premier portable ? 

Peut-être un vieux Nokia ! On pourrait sûrement en retrouver un aux Puces (rires). 

À 18 ans, vous imaginiez-vous un jour travailler dans l’univers de la téléphonie ? 

Pas du tout. Je ne savais pas encore ce que je voulais faire, et à vrai dire, les portables… n’existaient même pas ! 

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