À 18 ans, vous souvenez-vous du premier numéro que vous connaissiez par cœur ?
Je m’en souviens encore : c’était celui de mes parents, leur téléphone fixe, le 02 98 xx xx xx. C’était un téléphone en bakélite à cadran, avec le fameux écouteur qu’on plaçait contre l’oreille pour écouter les conversations. Toute une époque.
Quelle était votre sonnerie ou musique fétiche de l’époque ?
La sonnerie était la même pour tout le monde. Pas de personnalisation possible sur les téléphones à cadran, et même plus tard sur ceux à touches.
Les SMS n’existaient pas...
Exactement. Le téléphone servait à toute la famille. Il y avait un long fil, qu’on tirait jusque dans une autre pièce quand on voulait un peu d’intimité.
Vous souvenez-vous de votre premier portable ?
Peut-être un vieux Nokia ! On pourrait sûrement en retrouver un aux Puces (rires).
À 18 ans, vous imaginiez-vous un jour travailler dans l’univers de la téléphonie ?
Pas du tout. Je ne savais pas encore ce que je voulais faire, et à vrai dire, les portables… n’existaient même pas !