Alexandre Serpollet

Alexandre Serpollet, Coach digital personnel à Lyon

Quand Alexandre avait 18 ans, Parnasse venait de naître. Dix-huit ans plus tard, il y consacre sa carrière. Retour sur ses premiers SMS comptés, son SAGEM MTC… et ce sentiment de liberté qu’apportait déjà la téléphonie mobile.

LE VENDREDI 10 OCTOBRE 2025

À 18 ans, vous souvenez-vous du premier numéro que vous connaissiez par cœur ? 

Oui, celui de ma mère, le 06 87… Je connaissais aussi ceux de mes amis. À l’époque, il y avait encore beaucoup plus de lignes fixes que de portables. Et bien sûr, j’ai connu la cabine téléphonique où l’on se faisait rappeler. 

Quel était votre premier téléphone ? 

Un SAGEM MTC, avec un écran vert. J’ai eu mon premier portable à 16 ans : un vrai “gros portable”, comme on disait alors. 

Votre téléphone servait-il surtout à téléphoner ou à envoyer des SMS ? 

Plutôt à envoyer des SMS ! Il fallait d’ailleurs faire attention à la limite de mots (espaces compris). Les forfaits étaient calculés au nombre de messages, sauf le soir et le week-end, où les SMS devenaient illimités. 

Si vous deviez décrire votre téléphone de 18 ans en un mot ? 

Liberté. Avoir un téléphone quand on est ado, c’est s’affranchir du fixe familial. Un vrai symbole d’indépendance à l’adolescence. 

Quand vous aviez 18 ans, Parnasse venait tout juste de naître. Vous imaginiez-vous y travailler un jour ? 

Pas vraiment, mais le destin en a décidé autrement ! Quand j’étais en BTS, beaucoup de mes camarades travaillaient chez France Télécom, et ça m’a donné envie. J’ai rejoint Orange pour mon master, puis Parnasse. À 18 ans, Parnasse faisait déjà rêver… 

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