Vincent Grè

Vincent Grè, Manager des Coachs

À l’occasion des 18 ans de Parnasse, Vincent Grè évoque son Motorola Graphite, symbole d’autonomie et de liberté. Souvenirs d’une époque où la cabine téléphonique laissait place au portable.

LE VENDREDI 10 OCTOBRE 2025

À 18 ans, vous souvenez-vous du premier numéro que vous connaissiez par cœur ? 

Oui, c’était d’abord celui de la maison, le téléphone fixe, puis celui de mon père. 

Quel était votre premier téléphone ? 

Un Motorola Graphite. Et j’ai toujours le même numéro depuis cette époque. 

Votre téléphone servait-il surtout à téléphoner ou à envoyer des SMS ? 

Essentiellement à téléphoner. Je l’utilisais souvent pour joindre mes parents et mes amis. Ce téléphone m’a libéré des cabines téléphoniques, j’en ai d’ailleurs gardé le souvenir à travers une collection de cartes que j’ai gardée. 

Si vous deviez décrire votre téléphone de 18 ans en un mot ? 

Révolutionnaire. Il fallait tirer une petite antenne pour capter le réseau : c’était la modernité absolue. On passait soudain de la cabine téléphonique à l’autonomie. 

Quand vous aviez 18 ans, imaginiez-vous travailler un jour dans la téléphonie ? 

Pas du tout. À l’époque, je me voyais plutôt dans la communication ou le commerce, plutôt un métier tourné vers la relation client. Finalement, c’est exactement ce que je fais aujourd’hui… mais dans un univers que je n’aurais jamais imaginé. 

Si vous pouviez parler au Vincent de vos 18 ans ? 

Je lui dirais qu’il va vivre une révolution incroyable. De ne pas s’inquiéter, et surtout… qu’il décrochera toujours son téléphone avec le sourire. 

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