C’est une histoire de rencontres et de passion. Celle d’une idée née en 2021, lancée en janvier 2023 et consacrée par une première mondiale en mars 2024 : la longue conservation du thé infusé à froid sans aucun ajout, faisant de ce flacon, « la boisson la plus pure au monde en gastronomie » selon ses fondateurs.  L’ambition ? Insuffler au thé les codes du vin et réinventer son expérience, notamment à froid, pour lui offrir une place inédite dans l’univers gastronomique.

Une boisson d’exception, naturelle et durable

Avec l’expertise de Carine Baudry, maître de thé avec qui Edouard Malbois va sourcer ses thés, Grands Jardins propose une boisson dépourvue de sucre, d’acidité, de gaz ou tout autre additif. Rien d’autre que de l’eau et du thé, infusé et macéré selon un procédé unique, garantissant une longue conservation, jusqu’à 24 mois.

Les thés sont sélectionnés avec soin dans des terroirs d’exception : en Himalaya ou sur l’Equateur… en Chine, au Japon, au Laos, au Népal, au Malawi... Ils sont ensuite infusés et macérés en Auvergne avant d’être mis en bouteille dans la vallée de la Loire. Et pour honorer cette filiation avec le vin, les thés Grands Jardins sont présentés dans des bouteilles de Bourgogne, « parce qu’on adore la Bourgogne » glisse Edouard Malbois.

Un rituel digne des plus grands crus

Grands Jardins ne se contente pas d’une réinvention gustative, il instaure aussi un rituel. Servi dans des verres Lehmann, en accord avec Fabrice Sommier, président de l’union de la sommellerie française (UDSF), chaque thé déploie ses arômes avec une intensité comparable à celle des vins les plus complexes. On parle ici de longueur, de tanins, de fruité, de végétal et d’intensité – un langage commun entre les deux univers.

La haute gastronomie conquise

Avec plus de 60 lieux en France adoptant Grands Jardins, la haute gastronomie a déjà succombé à son charme. Des chefs de renom comme Thierry Marx, Yannick Alléno, Pierre Gagnaire et Alexandre Mazzia ont intégré ces thés dans leurs accords mets-boissons, offrant une alternative raffinée aux amateurs de grands crus.

L’arrivée du printemps inspire des associations subtiles : un thé blanc du Népal, première récolte de printemps, sublime la douceur de l’asperge ; un thé vert du sud du Japon, à base de brindilles grillées, dialogue avec l’univers du café. De quoi conquérir sommeliers et épicuriens.